Georges de Caunes
Crée le 16 janvier 2018
Louis (2) Georges (1) Gustave (3) de Caunes. La fiche d'étudiant le note : Georges est le prénom d'usage.
Ce fils d'une famille de juristes entre lui aussi à la faculté pour y faire son droit.
La licence est obtenue à vingt ans, en même temps qu'arrive la guerre : 1939.
Mobilisé en 1940, élève officier, Georges de Caunes fait partie de ces "cadets" qui à Saumur sur la Loire tentent de bloquer l'avance allemande dans les journées effroyables de juin 1940 et y parviennent pendant 48 heures.
En face le General der Kavallerie Feldt, pour reconnaître la bravoure de ces jeunes hommes après le combat mené les 19 et 20 juin, permet aux survivants-dont Georges de Caunes-, libres, de passer la ligne de démarcation générée par l'Armistice demandé par le Maréchal Pétain.
Georges de Caunes est après guerre un journaliste de la presse écrite ; un homme de radio ; un précurseur de la TV, "l'étrange lucarne" si chère à la génération du Baby-boom. Il est aussi un amateur de défis. Au Groënland avec Paul-Emile Victor ; plus tard à Tahiti (1957) ; aux îles Marquises, bien loin d'un paradis à la Gauguin, pour une expérience de solitaire et de solitude (1962) que suivra la radio. Le chien Eder, le chat Patisson et un rossignol sont ses compagnons, compagnons dans une Nature si dure et peu généreuse.
"C'est l'Eder que les téléspectateurs ont bien connu" dira plus tard Georges de Caunes (16 mars 1976). En fait il y eut deux Eder. Eder veut dire "beau" en basque explique le maître du chien. Nous les trouvions tous deux si sympathiques.
Honneur à Georges de Caunes et hommage à son amour des choses, des animaux et des gens.
Il décède en 2004.
Sources : Mission Archives de l'université
5Z3 : fiche d'étudiant
Ce fils d'une famille de juristes entre lui aussi à la faculté pour y faire son droit.
La licence est obtenue à vingt ans, en même temps qu'arrive la guerre : 1939.
Mobilisé en 1940, élève officier, Georges de Caunes fait partie de ces "cadets" qui à Saumur sur la Loire tentent de bloquer l'avance allemande dans les journées effroyables de juin 1940 et y parviennent pendant 48 heures.
En face le General der Kavallerie Feldt, pour reconnaître la bravoure de ces jeunes hommes après le combat mené les 19 et 20 juin, permet aux survivants-dont Georges de Caunes-, libres, de passer la ligne de démarcation générée par l'Armistice demandé par le Maréchal Pétain.
Georges de Caunes est après guerre un journaliste de la presse écrite ; un homme de radio ; un précurseur de la TV, "l'étrange lucarne" si chère à la génération du Baby-boom. Il est aussi un amateur de défis. Au Groënland avec Paul-Emile Victor ; plus tard à Tahiti (1957) ; aux îles Marquises, bien loin d'un paradis à la Gauguin, pour une expérience de solitaire et de solitude (1962) que suivra la radio. Le chien Eder, le chat Patisson et un rossignol sont ses compagnons, compagnons dans une Nature si dure et peu généreuse.
"C'est l'Eder que les téléspectateurs ont bien connu" dira plus tard Georges de Caunes (16 mars 1976). En fait il y eut deux Eder. Eder veut dire "beau" en basque explique le maître du chien. Nous les trouvions tous deux si sympathiques.
Honneur à Georges de Caunes et hommage à son amour des choses, des animaux et des gens.
Il décède en 2004.
Sources : Mission Archives de l'université
5Z3 : fiche d'étudiant